Et continuer à bénéficier du forfait à 0 euro (contre 2 euros pour les non-abonnés) incluant 2 heures d’appels vers les mobiles et fixes de France Métropolitaine et vers les numéros fixes de 41 destinations étrangères. Un forfait qui vient lui aussi de faire l‘objet d’un toilettage, Free autorisant depuis peu, sous conditions, ses clients à téléphoner depuis l’étranger avec ce forfait.
Aujourd’hui, si elle s’est alignée sur l’offre de Free Mobile à 19,99 euros en lançant notamment plusieurs opérateurs low-cost comme Sosh (Orange), RED (SFR) et B&You (Bouygues Télécom), la concurrence ne suit pas encore Free sur l’offre à 15,99 euros qui reste sans équivalent sur le marché.
Pour Free l’objectif est double. Il s’agit d’un côté élargir son parc client sur son forfait mobile “illimité” (5,3 millions de foyers possédant déjà une Freebox). De l’autre de recruter de nouveaux abonnés Freebox, un segment (l’ADSL) plus que profitable pour l’opérateur. La marge brute d’exploitation ayant atteint l’an passé 41,7%.