Le temps se couvre pour les perches à selfie (plus connues dans le monde anglophone sous l’appellation de “selfie stick”). En Corée du Sud, la simple commercialisation de ce type d’accessoires est désormais passible de prison et de 27 000 dollars d’amende.
Aux Etats-Unis, à New York, à Washington, et plus particulièrement, au MoMa, au Guggenheim, et au Smithsonian les perches à selfies n’ont plus, non plus (comme les sacs à dos que l’on est prié de laisser à la consigne), droit de cité. En Angleterre, dans des stades de football comme White Hart Lane (Tottenham) ou l’Emirates Stadium (Arsenal), le “selfie stick” est potentiellement vu comme une arme et donc désormais formellement interdit.
Enfin, si quelque plaisantin continue à l’utiliser dans un bureau oval à Washington, la perche à selfie ne peut, depuis peu, plus visiter (un accident est si vite arrivé) les musées australiens tels que le National Gallery of Victoria, le National Portrait Gallery ou le National Gallery of Australia à Canberra.
@DanBarreiroKFAN Why look at the Mona Lisa in person when you can view on your iPad? #Louvre #Walloftablets pic.twitter.com/XHFmsx9vNQ
— John Castillo (@JCinMSP) 14 Octobre 2014
Et l’on se prend à rêver qu’il en soit bientôt de même pour les iPad…