Accueil / 2016 (page 104)

Yearly Archives: 2016

Comment gagner 40 000 dollars par an en ne conduisant pas une Google Car

C’est une offre d’emploi un peu particulière que vient de diffuser Google, mais elle mérite que l’on s’y attarde…

 

Le groupe Internet recherche, non pas des chauffeurs, mais des passagers, capables de superviser et de rendre compte du bon (ou du mauvais) fonctionnement d’une flotte de Google Cars, le véhicule sans conducteur de Google. Le salaire est de 40 000 dollars par an, pour 40 heures par semaine, soit un salaire de base de 20 dollars de l’heure.

40 mots par minute

A ce tarif, les candidats devront être capable de rédiger une quarantaine de mots par minute, habiter près de la zone d’essai sélectionnée par Google, à savoir près de Chandler dans l’Arizona (aux Etats-Unis), disposer d’un diplôme universitaire, (niveau licence minimum) et d’un casier judiciaire… vierge. Si vous êtes intéressé, vous pouvez faire acte de candidature ici.

Les ventes de vinyles rapportent plus aux artistes que YouTube

Nous sommes en 2016 et selon une étude publiée le 20 mai par la British Phonographic Industry (une organisation qui représente les intérêts des acteurs de l’industrie musicale au Royaume-Uni), la part des revenus provenant de services comme YouTube ne représente que 17% du montant total perçu par les artistes.

 

Le saviez-vous? Entre 2014 et 2015 le nombre de clips visionnés sur des services tels que YouTube a progressé de 88%, mais dans le même temps les revenus reversés aux artistes n’ont, eux, progressé, que de 0,4%.

C’est l’une des conclusions les plus marquantes d’une étude rendue publique le 20 mai 2016, par la British Phonographic Industry et disponible ici.

26,9 milliards de vidéos visionnées en 2015

En 2015, en Grande-Bretagne, les sommes reversées par YouTube et ses principaux concurrents n’ont par ailleurs représenté que 17% des revenus perçus par les artistes, dont une certaine Adele, (à savoir 24,4 millions de livres sterling sur près de 146 millions de livres sterling).

Les revenus issus des services de streaming, se placent ainsi loin derrière… les ventes (physiques) de disques vinyles, indique l’étude. Encore faut-il bien garder à l’esprit que si les internautes ont visionné 26,9 milliards de vidéos en 2015, les consommateurs n’ont acheté pour leur part « que » 2,1 millions de disques vinyles outre-Manche.