Ce fichier, dont les données ont été authentifiées par l’agence Associated Press (AP), indique le site Wired, contient des informations comme le nom, la ville de naissance, le lieu de naissance, la date de naissance, l’adresse, ou bien encore le numéro national d’identité des personnes concernées.
Le tout était accompagné d’un message soulignant le faible niveau de protection de ces données par les autorités turques, qui a permis in fine de récupérer cette base de données géantes (et non cryptée) sur les serveurs du gouvernement.
50 millions de personnes touchées
De son côté, et comme si tout cela était normal, le gouvernement a tenté de minimiser l’impact de la diffusion de ces informations en expliquant qu’il s’agissait « d’une vieille histoire » remontant à 2010. Or selon des experts, s’il y avait déjà une fuite de données en 2010, celles-ci n’avaient alors pas été postées en ligne…
Errare humanum est. Perseverare diabolicum!