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Quand les réseaux sociaux nous empêchent de dormir

Selon une étude de l’Université de Pittsburgh (Etats-Unis), une consultation compulsive et fréquente des réseaux sociaux impacterait fortement la régularité des cycles de sommeil chez les jeunes adultes.

Selon une étude menée par l’Université de Pittsburgh (Pennsylvanie) auprès de 1 700 jeunes adultes âgés de 19 à 32 ans, les sujets qui passent plus d’une heure par jour sur les réseaux sociaux ou qui (ce qui semble être encore pire) s’endormiraient en lisant leur fil d’actualité sur Facebook, sont susceptibles de voir leurs cycles de sommeil très fortement perturbés.

Ces jeunes adultes appartiennent à la première génération à avoir grandi avec les médias sociaux, il était donc logique qu’elle se retrouve au coeur de cette étude.

Aux Etats-Unis, entre Twitter, Facebook, Snapchat, tumblr, ou bien encore Instagram, ils passent en moyenne une heure par jour sur les réseaux sociaux, et s’y rendent une trentaine de fois par semaine.

Une petite lumière bleue

reseauxsociaux-social-networkOr, selon l’étude conduite par Jessica C. Levenson du Département de psychiatrie de l’Université de Pittsburgh, les sujets qui ont une utilisation compulsive des réseaux et des médias sociaux auraient trois fois plus de “chances” d’être confrontés à des perturbations du sommeil.

Qu’il s’agisse de l’utilisation du smartphone et de cette petite lumière bleue émise dans l’obscurité quand nous consultons Facebook en pleine nuit, les responsables de cette étude, sans retenir une cause plutôt qu’une autre, suggèrent que les médias sociaux sont au coeur d’un trop-plein d’informations et d’émotions difficile à gérer pour un cerveau qui aspirent à se reposer.

Prochaine étape, quelles peuvent-être les conséquences d’un cycle de sommeil perturbé sur l’accélération du vieillissement?

Les Chiffres De La Semaine #13 (du 28 mars au 3 avril 2016)

Chaque semaine NewZilla.NET revisite l’actualité en quelques chiffres. A la Une cette semaine : Apple, Snapchat, Google, Samsung, Sony et Instagram.

 

  • 12 DOLLARS. C’est, selon Wayne Lam (analyste pour le cabinet IHS Technology) le surcoût occasionné pour Apple pour la production d’un iPhone doté d’une capacité de stockage de 64Go en comparaison d’un modèle à 16Go. Si l’on considère que l’iPhone 64Go est en moyenne vendu 100 dollars de plus qu’un iPhone 16Go, on voit tout l’intérêt qu’à Apple à vanter les mérites de ce modèle. Mais il est vrai qu’entre les différentes applications, la vidéo 4K et les photos en 12 millions de pixels, la capacité de stockage d’un iPhone 16 Go se trouve vite saturée…
  • 20 à 30 MINUTES. C’est le temps que passerait par jour un utilisateur « actif » de Snapchat sur le réseau social. Une information diffusée par Snapchat à destination notamment des annonceurs publicitaires, mais une information qui ne prend bien évidemment pas en compte le niveau d’intérêt (ou de rejet) des utilisateurs de Snapchat pour la publicité…
  • 652 000 DOLLARS. C’est le montant du salaire annuel du P-DG de Google, Sundar Pichai, pour l’année 2015. Une rémunération à laquelle il convient d’ajouter 99,8 millions de dollars en actions Google.
  • 30 MILLIONS DE DOLLARS. C’est la somme que réclame la légende du football Pelé au groupe coréen Samsung pour atteinte à son droit à l’image. Samsung avait utilisé, sans son autorisation, l’image de l’ex-joueur brésilien dans une publicité pour des télévisions HD.
  • 35 DOLLARS. C’est, selon une étude Sensor Tower, le montant moyen des dépenses par an d’un utilisateur d’iPhone aux Etats-Unis pour des applications ou des achats intégrés à ces applications.
  • 30 DOLLARS. C’est, selon le site Buzzfeed.com, la somme que Sony s’apprête à facturer pour le visionnage d’un film en 4K sur sa nouvelle plate-forme de streaming baptisée Ultra qui sera lancée le 4 avril prochain.
  • 60 SECONDES. C’est désormais la durée maximale des vidéos que vous pouvez poster sur Instagram. Au lieu des 45 secondes autorisées jusqu’à présent.