Selon une enquête menée par l’éditeur américain de logiciel d’antivirus Norton (Symantec), auprès d’un millier de femmes australiennes, près de la moitié d’entre elles ont déjà du faire face à des actes de cyberviolence. Un pourcentage qui grimpe à 76% pour les femmes de moins de 30 ans.
Commentaires sexistes, stratégies de harcèlement, trolling, menaces de mort ou de viol… selon une étude publiée le 2 mars dernier (et disponible ici) par l’éditeur de solutions antivirus Norton (Symantec), il ne fait pas bon être une femme sur Internet en ce début d’année 2016.
Cette cyberviolence, symbolique mais pas que, se mue très souvent en cybersexisme en ce qu’elle s’attaque aux femmes, en tant que femmes. Dans 66% des cas ces actes malveillants se déroulent sur les réseaux sociaux, loin devant l’email (22%) et le texto (17%).