Le service de géolocalisation passe un partenariat avec Delivery.com pour proposer à ses utilisateurs de la livraison de repas, de boissons et d’épiceries.
Foursquare, une application de géolocalisation dont certains seront certainement contents (voire surpris) d’apprendre qu’elle existe toujours, se lance dans la livraison de repas et de boissons, par le biais d’un partenariat conclu pour le marché américain avec Delivery.com.
L’idée est simple, il s’agit de permettre aux utilisateurs de Foursquare qui passerait à proximité de l’un des 10 000 petits commerces (épicerie, restaurant…) travaillant avec Delivery.com de commander ou de faire leur course en direct, juste en ouvrant l’application. Une petite manoeuvre rendu possible grace à l’intégration de la plateforme de commerce mobile Button, qui collabore déjà avec des groupes Internet comme Uber, Airbnb ou Ticketmaster.
Après un changement de logo, plus discret que celui d’Airbnb, en 2015, Foursquare s’est séparé de son PD-G Dennis Crowley et levé 45 millions de dollars pour accompagner sa “croissance”…
LetterOne, le fonds d’investissement créé en 2013, basé au Luxembourg, et dirigé par le milliardaire russe lui-même a rendu public cette information sans en préciser les conditions d’acquisition.
Certes, ce n’est rien au regard des 8,8 milliards de dollars déjà levés par Uber, mais la nouvelle ne serait passer inaperçue. LetterOne, le fonds d’investissement créé en 2013, basé au Luxembourg, et dirigé par le milliardaire russe Mikhail Fridman, indique avoir injecté 200 millions de dollars dans Uber. Sans préciser toutefois le calendrier d’achat de ces titres ni la part du capital d’Uber désormais détenue par LetterOne.
Si l’on se réfère aux différentes opérations mentionnées sur le site Internet de LetterOne, c’est la première fois que le fonds investit aux Etats-Unis et a fortiori dans un des grands noms de l’économie Internet.
68ème fortune mondiale
Au mois de janvier les médias russes avait indiqué qu’un autre oligarque à la réputation sulfureuse, actionnaire du club de football d’Arsenal, Alisher Ousmanov, avait lui aussi investi des dizaines de millions de dollars dans Uber, rapporte l’agence Reuters.
De son côté, Mikhail Fridman, 68ème fortune mondiale selon le magazine Forbes (et deuxième homme le plus riche de Russie, avec 13,2milliards de dollars) “appartient à ce petit groupe de jeunes Russes intelligents et sans scrupules qui étaient à l’université au moment de l’effondrement de l’URSS et ont décidé de faire fortune sur les décombres du communisme”, notait en 2003 le quotidien économique Les Echos dans un portrait qui évoquait en passant, et comme il est presque de rigueur en pareil cas, les liens supposés de l’oligarque avec la mafia russe.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de nos cookies afin de vous offrir une meilleure utilisation de ce site Internet. Pour en savoir plus et pour paramétrer vos cookies veuillez consulter notre page "Données personnelles & Cookies".J'acceptePour en savoir plus et paramétrer les cookiesPolitique de cookies
Données personnelles & Cookies
Privacy Overview
This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience.
Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. This category only includes cookies that ensures basic functionalities and security features of the website. These cookies do not store any personal information.
Any cookies that may not be particularly necessary for the website to function and is used specifically to collect user personal data via analytics, ads, other embedded contents are termed as non-necessary cookies. It is mandatory to procure user consent prior to running these cookies on your website.