Nous sommes en 2016, et le mouvement solidaire Emmaüs a décidé de se lancer dans le commerce en ligne aux côtés du Bon Coin, d’Amazon ou de PriceMinister. L’annonce a été faite ce week-end à la porte de la Villette à Paris, à l’occasion de la grande vente annuelle du mouvement.

Après une série d’expérimentations, officiellement, réussies sur des sites comme Toulouse, Vannes ou Forbach, Emmaüs a investi 500 000 euros pour développer label-emmaus.co, son futur site de vente en ligne dont le lancement est prévu à l’automne.

Ventes flash et ventes privées

Ventes flash thématiques, ventes privées ouvertes à ceux qui auront choisi d’investir dans le projet, pour rentrer dans ses frais Emmaüs s’est résolu à faire chauffer la boite à idées! Sans pour autant entrer en concurrence frontale avec les 350 espaces de vente existant déjà un peu partout en France.

Les objets vendus seront issus de dons de particuliers. Des vêtements, des meubles et d’autres objets que les internautes (au profil réputé plus jeune que les acheteurs habituels d’Emmaüs) pourront commander en ligne, se faire livrer ou venir chercher sur place.

Amsterdam et ses 800 000 bicyclettes. Amsterdam, ses 800 000 bicyclettes et ces vélos victimes de crevaison… Pour faciliter la vie des cyclistes victimes de ce type d’impondérables (météorologiques ou pas) ou simplement d’un petit coup de fatigue, Uber lance ces jours-ci à Amsterdam, UberBike.

Ce service (ou plutôt dans ce cas précis cette application) permet à un cycliste de faire appel à un chauffeur Uber pour qu’il le ramène chez lui, lui et son vélo.

Car la spécificité d’UberBike est de mettre à disposition des utilisateurs des véhicules capables d’embarquer un vélo à l’arrière grâce à un système de fixation. Les tarifs pratiqués sont identiques à ceux de la gamme UberX, si ce n’est un supplément par vélo de 4 euros.