Ils sont une cinquantaine à se relayer jour et nuit. Pour faciliter l’arrivée de secours de première urgence, les bénévoles du projet open-source OpenStreetMap cartographient les zones dévastées, indique Le Monde.
Un savoir-faire qui se base sur des images aériennes et satellites, fournies par les grandes agences spatiales.
La charte de l’espace, que 16 grandes agences ont signé, leur impose de fournir, en cas de « catastrophes majeures », leurs images aux Etats et associations qui en feraient la demande, après en avoir « vérifié la pertinence et l’honnêteté », précise le quotidien du soir.
En pratique, cinq zones sont proposées, sur lesquelles est indiqué le pourcentage de travail effectué. L’île de Saint-Barthélemy, par exemple, a été décomposée en petites zones carrées.
Le projet est aussi ouvert aux débutants mais la mise à jour des lieux étant assez sensibles, leurs contributions ne sont acceptées que sous quelques réserves techniques.
Ainsi, les contributeurs débutants peuvent-ils déposer des suggestions sur les cartes, que des contributeurs expérimentés valideront ou non. Un guide complet est aussi à leur disposition pour en apprendre plus sur le fonctionnement d’OpenStreetMap, rapporte LeMonde.fr.
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