Il y a un an, le sulfureux financier Jeffrey Epstein (retrouvé mort samedi 10 août 2019 dans une prison fédérale de New York) avait levé un voile discret sur ce qu’il savait des moeurs supposées de l’élite de la Silicon Valley.
Le sulfureux financier Jeffrey Epstein (retrouvé mort samedi 10 août dans une prison fédérale de New York où il était détenu en attendant son procès pour des accusations de pédophilie) avait affirmé l’an passé au journaliste du New York Times, James B.Stewart, qu’il détenait nombre d’informations compromettantes sur la “supposée’ élite de la Silicon Valley.
Depuis la parution outre-Atlantique, en février 2019, du livre de la journaliste spécialisée Emily Chang (“Brotopia, Breaking Up the Boy’s Club Of Silicon Valley” / Penguin – Random House), on sait que les dirigeants de la Silicon Valley ne sont pas exactement, pour certains d’entre eux, des grenouilles de bénitier.
Suivant un procédé journalistique contestable qui consiste en l’espèce à rompre la confidentialité de propos tenus en “off” après la disparition de l’auteur de ces propos, James B.Stewart, qui se garde bien de citer des noms, révèle néanmoins ce que lui disait Jeffrey Epstein.
Le sulfureux financier, lui expliquant avoir vu à maintes reprises de hauts dirigeants de la Silicon Valley, prendre des drogues et se livrer à des “activités hédonistes”.
Une terminologie dont on peut aisément deviner à quoi elle pouvait correspondre dans l’esprit d’un personnage comme Jeffrey Epstein.
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