La maire de Paris, Anne Hidalgo, souhaite une piétonnisation partielle de cette emblématique place de la capitale française.
« Me voilà comme un con, place de la Concorde! » chantait le poète, Claude Nougaro. D’ici quelques mois les automobilistes qui s’y engageront pouraient très bien se demander ce qu’ils y font.
Car la maire de Paris, Anne Hidalgo, poursuit au prétexte des Jeux olympiques, pour le meilleur (et le plus souvent, il faut bien le reconnaître, pour le pire) sa transformation à marche forcée de la capitale.
Après avoir affirmé qu’elle se baignerait dans la Seine au mois de juillet prochain, juste avant la cérémonie d’ouverture des JO, l’édile annonce aujourd’hui que la moitié de la surface de la place de la Concorde, située au pied de l’avenue des Champs-Elysées, ne sera pas rendue aux voitures après les Jeux olympiques.
La place de la Concorde « sera offerte à la promenade des Tuileries jusqu’à l’Obélisque », explique Anne Hidalgo, interrogée par La Tribune Dimanche.