Le premier, englué dans la controverse autour des “fake news”, tente de se recentrer en re-donnant la priorité à la diffusion d’une information de proximité, supposément plus fiable. Le second lance Bulletin, une application destinée à susciter et à encourager la production d’un “journalisme citoyen”.
“Les infos locales, c’est ce qui nous aident à comprendre où l’on vit et avec qui on vit”, expliquait récemment sur sa page Facebook, le co-fondateur du réseau social, Mark Zuckerberg.
Englué, et c’est peu de le dire, dans la polémique sans fin sur la diffusion des “fake news”, incapable de séparer le bon grain de l’ivraie et totalement dépassé par les évènements, Facebook a dans un premier temps choisi de rémunérer des “médias partenaires” chargés d’identifier puis de traiter ces fausses nouvelles.
Puis, Facebook s’est tourné vers les internautes (par ailleurs consommateurs de “fake news”) pour qu’ils signalent les contenus qui valent (ou pas) la peine d’être partagés.
Facebook, qui a perdu un million d’utilisateurs par jour (184 au lieu de 185) en Amérique du Nord sur le 4ème trimestre 2017, fait aujourd’hui un pas de côté (dans un premier temps aux Etats-Unis, dans le reste du monde ensuite).
Le réseau social tente de se recentrer sur la diffusion d’une information plus locale, supposément plus fiable et à plus haute “valeur ajoutée” dans le fil d’infos de ses utilisateurs.
De son côté, Google a récemment choisi de lancer, à titre expérimental (sur les localités d’Oakland en Californie et de Nashville au Tennessee), Bulletin.
Bulletin est une application de “journalisme citoyen” qui permet de partager facilement du texte des photos, des vidéos sur un évènement qui se déroule ou qui survient dans le voisinage.
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