Cette “attaque virale” a eu lieu samedi 10 août au matin, révèle le journal Nord-Eclair.
La cyberattaque a touché la messagerie, les systèmes informatiques et des applications-métiers mais “elle n’a pas eu d’impact sur la continuité de soins”, assure le groupe.
Jointe par le quotidien Le Parisien, la direction de la communication du groupe Ramsay-Générale de santé indique que ce virus a “paralysé” les serveurs gérant les infrastructures.
Le groupe Ramsay-Générale de santé est composé d’hôpitaux privés, de cliniques et de centres de radiothérapies.
Cette cyberattaque, révélée par le quotidien régional Nord-Eclair, rappelle celle, lancée en 2017, du virus “Wannacry”, un ransomware (“rançongiciel” en langage informatique français).
Ce type de programme bloque l’accès à toutes les données, avec pour but de contraindre la victime (une entreprise ou un particulier) à verser une rançon.
Aucun document sensible subtilisé
Le versement de cette rançon est le plus souvent exigée en cryptomonnaie car, de cette manière, les cybercriminels savent qu’il est de toute évidence beaucoup plus difficile de remonter jusqu’à eux.
Bonne nouvelle, en l’état actuel des investigations, l’entreprise ciblée affirme qu’aucun document sensible (dossiers médicaux des patients, fiches d’admissions et autres documents administratifs) n’a été consulté et subtilisé.
Le groupe Ramsay-Générale de santé a saisi l’ANSSI (l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information) et alerté la CNIL (Commission nationale d’informatique et des libertés).
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