Où l’on apprend (notamment) qui a réellement négocié le rachat, comment Google a tenté de faire capoter l’accord, combien de messages les utilisateurs de WhatsApp envoient en moyenne par mois et combien cela coûte aux opérateurs télécoms…

WhatsApp, cette application mobile de messagerie, descendante des Yahoo! Messenger, ICQ, et autres Windows Live Messenger n’est pas seule au monde. Ses concurrents sont légion, en particulier dans le sud-est asiatique.

En rachetant cette application mobile de messagerie, le réseau social met la main sur une base de données de 450 millions d’utilisateurs (dont 70% d’actifs).

La société de capital-risque a investi près de 60 millions de dollars dans WhatsApp depuis 2011. Le rachat de l’application par Facebook devrait lui rapporter 3,4 milliards de dollars.

Un pavé dans la mare des Samsung et autres LG.

Le studio dirigé par Jeffrey Katzenberg continue à diversifier ses activités. DreamWorks devrait ainsi présenter au CES 2014, qui ouvre mardi 7 janvier à Las Vegas, la DreamTab, une tablette numérique conçue en partenariat avec Fuhu.

Lancé en fanfare il y a bientôt dix ans, le projet de Dossier médical personnel (DMP) a déjà coûté plus de 500 millions d’euros pour un résultat, en terme de déploiement, particulièrement médiocre.

Les coordonnées (numéros de téléphone et identifiants) de 4,6 millions d’utilisateurs de ce service de partage de photos et de vidéos instantané très prisé des ados ont été mises en ligne. Et ce après que Snapchat ait minimisé la portée d’une alerte de sécurité émise il y a quelques jours par un éditeur de sécurité informatique australien.

Damon Wyman et David Bird, deux parents d’élèves Néo-zélandais, viennent d’obtenir que l’école de leurs enfants retire toute connexion Internet Wi-Fi. Une technologie qui, selon eux, augmenterait les risques de cancer du cerveau.