En 31 ans de “règne” à la tête du Cambodge, l’homme a déjà été accusé de “corruption”, de “fraude électorale” ou d’être à l’origine de “représailles” contre ses opposants politiques, mais jamais de s’être acheté des centaines de milliers de faux-amis sur Facebook pour booster sa popularité numérique… C’est désormais chose faite.
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